Synthèse : L’impact de l’alimentation sur la santé et l’écologie

Des études ont trouvé que la consommation de 100 g de viande rouge par jour augmente le risque de cancer de 29%. D’ailleurs, chaque kilo de bœuf produit se termine par l’émission de 14,83 kilo équivalent CO2 de gaz a effet de serre. Il y a une forte influence donc de ce qu’on mange sur non seulement la santé mais aussi l’environnement.

De nombreuses études ont montré que la viande rouge n’a aucun bénéfice pour la santé.

Sa consommation est directement liée aux dangers comme le cancer, le diabète et l’obésité. De plus, la production et la transportation de la viande rouge entraînent une énorme quantité de pollution qui menace l’environnement. En revanche, les légumes et les fruits sont les moins pollueurs, et l’on connaît aussi leurs bénéfices pour la santé.

Cependant, même la production des fruits et les légumes pose un danger à la santé et l’environnement en raison de la sur utilisation de nombreux pesticides et engrais chimiques dans l’agriculture. Ces produits polluent les sols et les eaux et gêne aussi la santé des agriculteurs. Un rapport de l’Inserm a montré que l’exposition aux pesticides double le risque de Parkinson chez les agriculteurs.

La solution plausible devant nous pour sauver la planète et pour sauvegarder la santé et ainsi d’avoir une consommation journalière plus raisonnable et équilibrée en limitant la quantité de la viande rouge. En plus, réduire l’utilisation des pesticides et encourager la consommation des produits agricoles produits localement semble comme une solution durable en long terme.

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Synthèse : La langue et la technologie

Aujourd’hui, en France et aussi dans le monde entier le « langage portable » est devenu l’ordre du jour comme 73% des jeunes l’utilisent. Alors, demain devient « 2m1 », j’ai devient « g », salut devient « slt ». Ce phénomène, craignent les puristes, pose un danger a la langue pure.

Les outils technologiques comme l’Internet et le portable ont donné naissance à une nouvelle langue plutôt phonétique facilitée par le chat, le texto etc. Premièrement inventée pour faciliter une communication rapide et pour économiser la facture du portable, cette langue étant libre des règles et les restrictions de la grammaire rendre plus simple le processus de communication. Cela donne la liberté aux gens d’innover et encourage la créativité.

Cependant, les experts de la langue et les puristes appréhendent que cette langue caractérisée par de mots codés et raccourcis remplacerait bientôt la langue pure. L’habitude d’utiliser cette langue produit aussi les fautes d’orthographe. De plus, les jeunes engoués de cette langue innovée et innovatrice se sentent appartenant a un groupe exclu, et du coup s’éloignent des structures de la vraie langue. Ils risquent de ne connaître jamais le plaisir de l’écriture.

Pourtant, une étude récente a trouvé que même les jeunes français savent l’importance du français classique. En fait, beaucoup d’eux sont contre l’inclusion des mots codés dans les encyclopédies. Alors, on ne peut pas nier l’évolution et le progrès de la technologie mais on peut l’utiliser pour mieux enseigner et ressusciter la langue pure.

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Synthèse : Résistance aux antibiotiques

Selon L’OMS dans 20 ans la résistance croissante chez les bactéries aux antibiotiques risque de rendre inguérissables les maladies qui sont en présent curables.

Etant donné que la résistance à tout antibiotique est en hausse, il n’est pas très loin le jour ou n’aucun médicament sera puissant contre les bactéries. On a déjà vu la pénicilline devenir inefficace en 20 ans après sa découverte. Cette « pharmacorésistance » est provoquée par la sur-utilisation des médicaments et aussi l’utilisation des médicaments inauthentiques. L’attitude des gens de consommer les médicaments pour la moindre malaise et celle des médecins de prescrire déraisonnablement les antibiotiques intensifient l’inefficacité des médicaments. De plus, c’est n’est pas possible de trouver encore de nouveaux médicaments plus efficaces. Cela pose des éventualités de rendre tueuses même les maladies les plus bénignes.

Alors, afin d’affaiblir la résistance des bactéries, il faut utiliser les médicaments plus raisonnablement comme on le fait dans les pays scandinaves. Les médecins aussi doivent être plus conscients et donner des prescriptions « adaptées » en se tenant compte que chaque maladie exige son propre traitement et les médicaments ne peuvent pas être pareils pour tous. En plus, on a trouvé que prescrire peu de dose élevée au lieu de nombreuses petites doses entraîne moins de résistances.

Même si la situation n’est encore pire, c’est l’heure d’être prudent maintenant pour qu’elle n’empire pas dans les 20 prochaines années.

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