Les enfants stressés

Aujourd’hui, les enfants deviennent victimes du monde concurrent et l’exigence d’exceller à tout. Résultat – souffrir les problèmes sociaux et psychologiques. Regardant le rôle principal que jouent les parents dans la vie des enfants, pourrait-on réduire le stress chez les enfants en mieux éduquant les parents ? On va le trouver après avoir vu les causes et conséquences du stress, suivies des solutions.

Jusqu’au moment ou les enfants vont à l’école, les parents sont leurs enseigneurs primordiaux et les plus responsables à bâtir la fondation du caractère et personnalité des enfants. Mais, à cause de la pression montante de travail et l’atteinte de l’Internet au cœur de la vie familiale, ils ne trouvent pas assez de temps à dédier aux enfants. Encore, ils exigent que leurs enfants soient les meilleures dans tous les domaines.

La négligence à l’une part et l’exigence des résultats magnifiques de l’autre, fait les enfants stresser, agiter et se sentir dévalorisés. Ils ne savent comment contourner la pression et quand réaliser les espérances des parents n’est pas possible, ils se sentent bons pour rien. Les parents ne trouvent le temps ni pour communiquer ni discipliner leurs enfants. Souvent le stress renvoi les enfants aux actes de violence à l’école ou l’hyperactivité, soient pour gagner l’attention qui leur manque ou pour se sentir valorisés.

Alors, c’est important que les parents soient plus attentifs aux enfants pendant les années de formation, voire après. Ils doivent partager le temps avec les enfants en faisant plusieurs activités comme étudier ensemble, jouer ou simple, parler avec eux. En fin, les enfants ont besoin de temps pour s’épanouir. On ne doit pas les pousser à devenir les petits adultes.

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Le travail Domicile

Aujourd’hui, touchés de la récession quelques secteurs service en France renvoient leurs employés travailler de chez eux afin d’économiser leurs dépenses. Le travail domicile donc, pourrait-il être envisagé comme une mesure efficace pour débrouiller la crise des ressources entraînée par la récession ? On va le voir après avoir analyser tous les aspects du travail domicile.

Le travail domicile n’aide pas seulement les entreprises à gérer leurs ressources mais offre aussi la liberté aux employés de travailler tranquillement, améliorant ainsi leur efficacité. Surtout, ils économisent le temps gaspillé pendant les trajets journaliers et l’argent dépensé dehors. Puis, à part les Blackberry et les ordinateurs portables, les employés empochent quelque chose de plus précieux – le temps pour soi.

De plus, les entreprises épargnent les dépenses envers l’immobilier, l’électricité, le téléphone et autres coûts nécessaires pour maintenir le bureau et économisent aussi l’espace dans le parking et le bureau. Quand les entreprises individuelles économisent ainsi tout ce qu’elles peuvent, il y aurait une meilleure circulation de capital dans l’économie.

Cependant, le travail continu sur l’ordinateur pourrait affecter la santé et envahir la vie familiale/sociale des employés. D’ailleurs, dans un pays comme Inde où plusieurs gens habitent avec toute la famille, c’est difficile à se concentrer au travail chez eux.

Alors, on voit que les bons du travail domicile sont plus nombreux et cela pourrait profiter l’économie entière. Peu importent les petits malaises. De toute façon, dès l’évolution homme continue toujours à s’adapter. Après tout, sauvegarder l’économie est plus important pour sauvegarder la vie.

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La violence scolaire

« Elève américain tue ses camarades des coups de feu ». « Chahuté violemment, élève indien se suicide ». « Principal collège finit par terre, roué de coups ». On apprend toujours des instances de violence scolaire dans quelque partie du monde. Alors, et est-ce que les institutes scolaires pourraient réduire la violence dans la classe en changeant les mesures réglementaires ? Il faut d'abord comprendre qu'est ce qu'incite cette violence pour arriver aux solutions pour la contourner.

La violence scolaire se manifeste en diverses formes - se bagarrer, blesser, harceler les profs et chahuter les chouchous des profs. Voire les raisons pour l’agression sont diverses. L’environnement social en est une mais le système éducatif et les institutes sont aussi les coupables.

Le regroupement des élèves, la manque d’autorité des profs et celle du respect de part des élèves, les mutations des profs, leurs rapports troublées avec l’administration - cela affecte la tolérance des élèves et les profs et l’ambiance dans la classe devient tendue.

En modifiant quelques réglementations donc les institutes pourraient réduire la violence.

Il faut enlever le système de regroupement qui ne sert qu’à marginaliser les élèves. Puis, les profs soient bien formés et libres à exercer leur propre approche envers les étudiants et ils ne soient pas renforcés de muter pour qu’ils ne perdrent pas l’ardeur d’enseignement. D'ailleurs, la mise en place d’un psychologue, inclure des cours interactif dédier à l’enseignement des valeurs humaines et développement de personnalité peuvent aider les institutes à contourner la violence.

On sait que la violence et la tolérance ne peuvent jamais coexister. Alors, je suis sûre que quelques mesures et changements efficaces de la part des institutions pourraient donner abri à la tolérance et mettre à la porte la violence. Il est heure peut-être de renouveler le système éducatif.

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Pourrait-on vraiment trouver une solution durable afin de surmonter le problème de sous-alimentation ?

La sous-alimentation reste toujours une des plus graves causes de mortalités dans les pays développant où la grande majorité de gens vit sous le seuil de pauvreté. Le monde va témoigner d’un pénible moment historique quand le nombre d’affamés dans le monde dépassera bientôt le milliard.

Parmi les régions qui souffrent de la sous-nutrition celles qui ont le maximum nombre d’affamés sont l’Afrique subsaharienne et l’Asie du sud. Ce qui est plus inquiétant c’est que malgré tous les efforts des organisations comme la FAO et l’UNICEF, la situation continue toujours à empirer.

Il y avait déjà des problèmes qui ont déclenché la crise alimentaire, comme les conflits dans et entre les pays, les dérèglements des gouvernements, des problèmes d’infrastructure. La crise économique n’a sert qu’à amplifier énormément la manque de nutrition. Elle a entraîné une hausse dans les prix alimentaires et de l’énergie conduisant vers l’écroulement de toutes structures sociales et économiques autour du monde. Auparavant les pays en voie de développement pouvaient dépendre pour ressources de l’aide des pays riches. Mais en raison de la récession même les pays les plus puissants sont secoués et doivent conserver les ressources pour les problèmes chez eux.

Les conséquences dans les pays développants sont tellement tragiques et mènent à des maux sociaux et des activités antinomiques comme déscolarisation et travail des enfants et l’émigration. Tout cela pour que les gens puissent se subsister mais en fin de compte le développement du pays à tous échelons serait gêné.

La situation me semble très lugubre et je crains qu' arriver à une solution durable nous prendrait plusieurs années et beaucoup plus encore de crises.

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Est-ce que le monde de la mode est impartial quant à la représentation des mannequins de couleur ?

Aujourd’hui, la profusion dans les marchés des produits pour blanchir la peau donne l’épreuve de notre obsession de la couleur blanche. Cette obsession est évidente même dans le monde de la mode où la plupart des mannequins dans les défilés sont blancs. Mais s’il y a dans le monde autant de noirs que des blancs, pourquoi la mode ne représente que la couleur blanche ?

On a vu évidemment des mannequins noirs comme Naomi Campbell qui ont eu de grand succès. Mais elles ne sont qu’un grain de sable dans un désert. Il y a beaucoup de filles colorées qui restent toujours poussées dans l’ombre parmi la foule des filles blanches.

Les maisons de castings constatent que la raison pour cela est économique et pas raciste comme la blanche vend plus vite que la noire. On peut dire que c’est la conséquence du biais des gens partout dans le monde. Cependant, je crois que c’est un cycle continu et les gens, le media, la mode sont tous coupables pour avoir crée un fanatisme a propos de couleur. Puisqu’il y a partout dans le monde la notion de la femme blanche comme le « standard de beauté », la mode la reflète et le media projet constamment cette image. Les gens à leur tour veulent s’approprier cette image de beauté. Autant que toutes les filles, mêmes les noires, veulent avoir la peau claire et les cheveux lisses. Bref, chacune veut devenir un clone de chacune d’autre !

Comme l’écrivaine Ntozake Shangé a dit dans son poème Coloured Girls, je crois fortement que chaque race est spéciale comme chacune des couleurs dans un arc-en-ciel. Il faut les apprécier. Donc, j’aimerais que le media et la mode étant capables à impressionner le monde, projètent une image plus impartial afin que le monde devienne plus réceptif à chaque différence d’ethnicité et s’en réjouisse.

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Est-ce que la fracture linguistique pourrait-elle être considérée comme la fracture sociale ?

Sa capacité d’utiliser la langue distingue l’être humain des autres créatures. La langue n’est seulement un outil qui l’on sert à communiquer. C’est un instrument pour construire une société, pour tisser les relations entre gens en facilitant l’échange des expériences, des idées, ainsi, créant un sentiment de solidarité.


Parfois la langue devient aussi une arme de transgresser l’autorité et le reflet d’identité des individuels. En sont l‘épreuve les langues des cités, autrement dit « les quartiers sensibles » en France. Les immigrés surtout d’origine Arabe ou Afrique les habitent. Ils ont eu un passé troublé et ils trouvent difficile même aujourd’hui à s’incorporer dans le courant principal. Ils se sentent marginalisés, dominés par la majorité comme ils restent toujours les étrangers dans le pays qui les a adoptés.


Ils sont motivés donc à renvoyer à la majorité le sentiment d’aliénation qu’ils ont souffert depuis des années en créant un groupe tellement imperméable aux autres. Ils le font en modifiant le français standard dans les manières intéressantes. Pour l’instant on inverse l’ordre des mots pour créer de nouveaux mots ou on tisse le français avec l’arabe ou le berbère et crée un troisième mot. Ces mots ne sont compris que par les membres du groupe et la majorité se sent exclue.


Alors, utilisée comme une arme dans une bataille, la langue pourrait détruire la solidarité et entraîner une fracture sociale. Cependant, la société serait équilibrée si toutes les langues sont respectées comme les gens seraient fiers de leur propre langue et à même temps ils accepteraient l’existence de l’autre. Pour l’instant en Inde telles que régions on y trouve, il y a tant de langues et on respecte cette diversité. En fait, l’on en reste fier.


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