Pourrait-on empêcher la propagation du SIDA en mieux informant les jeunes ?

De nos jours l’être humain doit se battre avec de diverses maladies soit le virus du poulet ou la grippe A. Mais on connaît le SIDA depuis des décennies et bien qu’il reste toujours inguérissable, on croit qu’on en sait assez et que la situation n’est pas grave. Pourtant, comment expliquerait-t-on le taux montant de la mortalité à cause de SIDA, tant d’années après son origine? Cela indique que les gens ne sont pas bien informés sur le SIDA.

Trouver un vaccin contre le SIDA est difficile comme le virus (VIH) change d’un organisme a l’autre et il est différent dans différentes parties du monde. Le virus se transmit par le contact sexuel, la transfusion sanguine, les drogues injectables, de la mère à l’enfant. Le seul remède c’est la précaution.

Les personnes affectées par le SIDA font face aux plusieurs problèmes médicaux, sociaux et aussi économiques. Mépris et isolés, les affectés souffrent la discrimination dans la société et au travail. Les médicaments et le traitement coûtent trop chers. Le SIDA n’affecte juste le corps, il affecte toute fondation sur la quelle se base la vie et rend impuissant l’homme.

Cependant, l’homme possède le pouvoir de se défendre contre le SIDA. La meilleure défense c’est d’être prudent et bien informé. L’utilisation des préservatifs est très efficace contre le SIDA et les gens, surtout les jeunes doivent être en informés. Les jeunes sont les plus curieux à savoir tout et impressionner les esprits des jeunes c’est facile donc il faut les bien éduquer à propos SIDA. Il faut les informer sur les dangers du contact intime, l’importance de l’utilisation des préservatifs et la différence entre protection et contraception. La diffusion de l’information doit être nette est responsable, les sources de l’information soient les parents ou les enseignants. On peut innover de nouvelles méthodes pour informer les jeunes comme les faire préparer des jeux de rôles, leur montrer des films ou créer les chansons sur le thème du SIDA. Les lycées peuvent aussi installer des associations transversales pour résoudre les doutes et répondre aux questions des élèves.

Avoir été bien informés quand jeunes, ils seraient plus responsables comme adultes et cela pourrait mettre un frein à la propagation du SIDA dans l’avenir.